Le casque Shoei Neotec avait déjà intégré le classement des modulables hauts de gamme. Mais avec son petit dernier, la marque Japonaise Shoei tente clairement d’atteindre la première place… Avec quelques belles optimisations, par-ci par-là, le casque Shoei Neotec II va sans nul doute bientôt vous prendre la tête.
Revisiter les grands classiques avec le casque Shoei Neotec II
Adieu physique de casque à papa. Avec le modulable Shoei Neotec II, on est plutôt sur un design de jeune prodige, beaucoup plus sportif. Ce look, on le doit notamment au travail qui a été fait sur les ventilations… et qui lui donne un petit coup de jeune. Mais si la marque a travaillé cette partie du casque, c’est surtout pour diminuer les turbulences.
Prises d’air, écran, ensemble tour de cou + bavette : tout a été revu pour gagner en silence. Avec ce nouveau design compact, et surtout englobant, votre crâne est bien isolé des bruits ambiants. En plus de cette forme, il dispose aussi de mousses isolantes au niveau des oreilles, grand classique des casques routiers. Et tant que nous visitons l’intérieur, sachez aussi que le Neotec II a été spécialement aménagé pour recevoir un kit mains-libres Sena. Trois logements sont prévus, vous n’avez plus qu’à clipser ! Notons aussi qu’il dispose d’un système antibuée Pinlock Max Vision, ainsi qu’une boucle micrométrique en Inox pour une meilleure résistance.
Mais n’imaginez pas que ces nouveaux agréments lui ont fait prendre du poids. Au contraire. La marque a intégré une calotte en fibre (dispo en trois tailles) pour justement lui faire gagner quelques précieux grammes.
Cerise sur la moto, le Shoei Neotec II profite de la double homologation. Et oui, que vous soyez en mode jet ou en mode intégral, vous pouvez rouler en toute tranquillité… Elle n’est pas belle la vie ? Cette double homologation, Shoei la doit à un système de verrouillage de la mentonnière plus abouti en position ouverte.
Bref vous l’avez compris, avec le casque Shoei Neotec II, la marque Japonaise redéfinit les standards du confort, et touche particulièrement les motards qui ne lésinent pas sur les kilomètres.
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