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Essai du blouson en cuir DXR Tredici CE


essai du blouson en cuir DXR Tredici

Je ne vais pas te refaire un topo sur DXR, tu as bien dû comprendre maintenant que c’était la marque propre Motoblouz. Depuis la sortie de DXR, beaucoup de cuirs ont été créés. Il y en a franchement beaucoup, plus ou moins jolis selon les modèles, mais ça c’est une autre histoire. Les goûts et les couleurs… Le blouson en cuir DXR Tredici est le premier blouson DXR que je teste, on va voir ce que ça vaut !

Un look vintage, qui se tient

À l’ouverture du colis, ma première remarque a été la couleur. J’ai choisi le marron que je trouve, une fois devant les yeux, pas terrible. Bon, c’est une histoire de couleur encore, mais le cuir est très lisse et le marron très épuré. J’ai envie de dire qu’il lui manque un peu de grunge. Peut-être que cela se ressent moins sur le modèle noir.

Les concepteurs de DXR lui ont confié un style 70’s plutôt réussi. Tu as raison, on ne voit que ça sur les routes en ce moment, mais c’est ce que l’on appelle la mode ! Cependant, sur le blouson en cuir DXR Tredici, je dirais que tu retrouves autant le look néo-rétro urbain avec une petite touche racing à l’ancienne. Et c’est certainement ce qui m’a plu au départ.

Sa coupe droite est plutôt réussie, gentiment cintrée tout en restant classique, le bas du blouson tombe à la ceinture, parfait.

essai du blouson en cuir DXR Tredici en toutes conditions

Niveau sécurité, ça dit quoi ?

Alors, ça dit que c’est du cuir de vachette qui est bien sûr résistant à l’abrasion et aux déchirements. Ça dit aussi qu’il est équipé de protections coudes et épaules amovibles Safe-Max homologuées CE. Pour la dorsale, comme pour beaucoup de blousons, il faudra l’acheter en supplément. Rassure-toi, il est prédisposé à recevoir la dorsale Back Protector CE Level 2.

À l’enfilage

Premier enfilage, hic ! Pourquoi est-ce que les protections coudes sont plus basses que mon coude ? Bonne question. Mais c’est embêtant. J’ai l’impression que les manches sont un peu longues, ou bien que leur emplacement n’est pas très bien calé. En roulant, tu te débrouilles pour les replacer une fois installé sur ta meule, et elles ne bougeront pas. Par contre, quand tu te balades à pied, c’est un peu ennuyeux de les sentir tomber. Je n’ai pourtant pas l’impression d’être disproportionné, en tout cas, je n’ai jamais eu ce problème sur un autre blouson.

détails sur le blouson en cuir DXR Tredici

Sur la route

En route, tu es plutôt bien dedans. Je dirais même plus, confortable ! Tu te sens libre de tes mouvements. Certains blousons en cuir que j’ai pu essayer, une fois la fermeture fermée, je me sentais comme dans un tuyau de PVC. Génial.

La doublure thermique amovible fait bien son job, je suis sorti avec les copains dernièrement sous la neige, je n’ai pas eu froid du tout. Vraiment pas.

cuir du blouson DXR Tredici

Ergonomie du blouson en cuir DXR Tredici

Sur le blouson en cuir DXR Tredici, tu retrouves les bases : deux poches pour les mains extérieures et zippées, deux poches intérieures et zippées. Tu as aussi deux poches intérieures sur la doublure thermique et une poche CB sur l’avant-bras.

Tu as un zip sur chaque poignet afin d’enfiler aisément tes mitaines, et des boucles d’ajustement par bouton pression à la taille afin que tu puisses ajuster ton blouson selon tes abus de raclette et de houblon.

ajustements du blouson en cuir DXR Tredici

Conclusion

Le blouson en cuir DXR Tredici est un cuir qui a tout à fait le mérite d’exister. Il a de la gueule, tout en étant passe-partout. En hiver, tu n’auras pas froid, et en balade tu seras… à la mode ! Et puis franchement, on te le vend pour 200 €… Bah oui, c’est pas très cher pour un vrai cuir moto.

 

Voir la fiche produit

Look 3.5
Confort2.5
Protection thermique4
Sécurité4

Mon avis : un cuir au look vintage qui a le mérite d'exister

Le blouson de cuir DXR Tredici a de la gueule, tout en étant passe-partout. En hiver, il tient chaud, et permet de rester... à la mode.
3.5

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Sylvain

Débuté la moto en Inde il y a quatre ans, je me suis rapidement retrouvé à faire le tour du sous-continent puis à revenir en France avec une ancienne Royal Enfield. La mouche m'a piqué, je suis devenu un accroc du road trip moto. Depuis mon retour en France, je me suis mis au trail avec actuellement un Ténéré de 1990. Je crois que j'aime ce qui n'est pas tout jeune...

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