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Veste Furygan Brevent 3W1, testée et validée par Sylvain, client Motoblouz


essai de la veste furygan brevent 3W1

De retour pour partager ce dernier essai de l’hiver, la veste Brevent 3W1 de chez Furygan que j’ai testée en même temps que le pantalon Apalaches que tu pourras retrouver sur un autre article.

Le confort, la polyvalence, on aime

Ah… Qu’est-ce que j’aime enfiler une veste de moto qui donne l’impression qu’elle a été confectionnée sur-mesure ! Peut-être que la façon dont elle est taillée est particulièrement compatible avec ma morphologie ? Peut-être ! En tout cas, je me sens vraiment bien dans la veste Furygan Brevent 3W1. Mise à part sa forme, cette veste a tout ce qu’il faut pour être une veste polyvalente de tout confort. D’où son petit « 3W1 » pour trois en un. Chaude, étanche et respirante.


Doublure thermique, doublure étanche : tout est amovible avec de simples fermetures zippées. De mon point de vue, c’est une très bonne veste d’hiver et de mi-saison. Et je pense franchement qu’elle se débrouillera sur la saison chaude.

La polyvalence, comme souvent, ça passe partout mais ça n’excelle dans rien. La veste Furygan Brevent 3W1 quant à elle se débrouille vraiment bien en ce qui concerne le froid et la pluie. En ce qui concerne le chaud, les aérations sont bien pensées. J’aime beaucoup celles sur les bras qui partent du poignet et permettent d’avoir une large zone de ventilation, de même pour la zone du dos.

S’il fallait trouver un petit point négatif, je pointerais les aérations du torse qu’on aurait aimé voir un peu plus grandes. Après tout, c’est une 4 saisons. Encore une fois, si tu veux rouler sous 40°C confortablement, tu prends une veste été.

aérations de la veste Furygan Brevent 3W1

Des poches à tout va

Comme de nombreuses vestes moto, il y a de la poche partout. Personnellement, je n’aime pas trop ça. J’ai l’impression que c’est aussi une histoire d’esthétique de la part des concepteurs. Mais, fonctionnellement parlant, je n’en vois pas trop l’utilité. Rouler avec du bazar dans toutes les poches… ?

Bon, là où Furygan m’a fait plaisir cela dit, c’est avec la super poche CB sur la manche gauche. Un truc qui me saoule particulièrement sur les manteaux qui en sont dépourvus… Parce que cette poche est vraiment utile. La veste Furygan Brevent 3W1 dispose en plus d’une seconde poche utile : celle à l’intérieur qui s’ouvre avant les doublures. Elle est parfaitement accessible peu importe la configuration choisie, merci !

poches sur veste Furygan Brevent 3W1
Ah j’oubliais, ce petit crochet et sa boucle sur le col qui évitent que le velcro ne te raie le cou quand décides de le laisser ouvert. J’adore.

crochet pour éviter que le col abîme le cou, un plus de la veste Furygan Brevent 3W1

Et la dégaine ?

Alors la dégaine… C’est toujours une histoire de goût et de couleur. Si tu veux mon avis, moi, je la trouve très jolie cette veste Furygan. Je ne suis pas toujours fan de ces équipements hyper chargés à l’oeil… Mais, je trouve la Furygan Brevent plutôt équilibrée avec une petite touche Adventure. Tu la trouveras disponible en deux couleurs. Celle-ci et une autre, avec empiècements aux épaules et sous les bras en gris (et non, bleu nuit).

essai de la veste Furygan Brevent 3W1

La veste Furygan Brevent 3W1, de la bonne cam

C’est la première fois que je teste du matos Furygan en touring. La veste Furygan Brevent 3W1 me rappelle le cuir avec lequel je roule depuis plusieurs années et qui est vraiment de très bonne facture. Il est signé Furygan aussi. Franchement, je vais commencer à bien apprécier ce fabricant. Que ce soit les fermetures ou les coutures, tu sens que c’est du costaud. C’est un peu comme quand tu rentres dans une Audi puis dans une Dacia… Tu vois le truc ?

Voir la fiche produit

Protection3.5
Coupe4
Souplesse4
Qualité / Finition4.5
Confort3.8

Mon avis : Une bonne veste polyvalente comme on les aime

Polyvalente, plutôt stylée et à un prix accessible... Que te dire de plus ? La veste Furygan Brevent 3W1 est celle qui me fait apprécier Furygan...
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Sylvain

Débuté la moto en Inde il y a quatre ans, je me suis rapidement retrouvé à faire le tour du sous-continent puis à revenir en France avec une ancienne Royal Enfield. La mouche m'a piqué, je suis devenu un accroc du road trip moto. Depuis mon retour en France, je me suis mis au trail avec actuellement un Ténéré de 1990. Je crois que j'aime ce qui n'est pas tout jeune...

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